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Partir sur la route des Grandes Alpes :
découverte d’un itinéraire de légende

S’embarquer sur la route des Grandes Alpes, c’est plonger dans un décor d’une beauté presque irréelle, où chaque virage dévoile un nouveau visage des montagnes françaises. De Thonon-les-Bains, au bord du lac Léman, jusqu’à Nice et sa Méditerranée étincelante, cet itinéraire mythique déroule plus de 700 kilomètres à travers les plus hauts sommets alpins. Cyclistes chevronnés, motards avides de sensations ou simples amateurs d’évasion, tous viennent vivre cette traversée comme un rite de passage.

Car ici, l’effort se transforme en extase, la route devient légende, et chaque col franchi est une victoire sur soi-même et sur la verticalité du monde.

Un peu d’histoire

La route des Grandes Alpes, telle qu’on la connaît aujourd’hui, est le fruit d’un rêve porté par des pionniers du voyage. En 1909, le Touring Club de France – à l’époque une association de cyclistes engagés – lance l’idée ambitieuse d’un tracé reliant les Alpes françaises du nord au sud. Léon Auscher, son vice-président, en parle comme de « la plus belle route de montagne du monde », un projet qui devait incarner à la fois l’exploit sportif et la contemplation touristique.

Ce rêve prendra forme au fil des décennies. D’abord appelée « Route des Alpes », elle est progressivement ouverte à la circulation au fur et à mesure que les cols sont rendus accessibles. Le point d’orgue sera l’inauguration, en 1937, du col de l’Iseran – à 2764 mètres, le plus haut col routier des Alpes.

C’est cette dernière ouverture qui permet de boucler l’itinéraire. Rebaptisée « Route des Grandes Alpes » en 1950, elle entre alors dans l’imaginaire collectif comme un parcours initiatique, aussi bien pour les voyageurs que pour les amoureux de patrimoine.

Depuis, cette route n’a cessé d’attirer celles et ceux qui souhaitent vivre la montagne autrement, par la route, au rythme des lacets, du vent et de l’altitude.

Carte coyote de la route Napoléon
coyote route des grandes alpes col d'izoard

Des cols ouverts seulement l’été

On ne dompte pas la montagne en toute saison. Si certains cols plus bas restent praticables en hiver, l’essence même de la route des Grandes Alpes – ses plus hauts sommets – n’est accessible que durant la belle saison. De juin à octobre, lorsque la neige a fondu et que les routes sont déneigées, les cols les plus impressionnants, comme ceux de la Bonette, du Galibier ou de la Cayolle, ouvrent enfin leurs portes. C’est à ce moment que l’itinéraire prend tout son sens.

Cependant, mieux vaut éviter le mois d’août si l’on cherche la tranquillité : la route attire alors une foule dense de touristes, de cyclistes et de véhicules de loisirs. Le pic de fréquentation est tel que certains tronçons deviennent presque saturés. Pour vivre pleinement la magie des sommets sans les embouteillages, les meilleures périodes sont la fin juin et le tout début septembre.

Une expérience inoubliable

Chaque kilomètre de la route des Grandes Alpes est une invitation au lâcher-prise. Loin du tumulte des villes, le silence des cimes et le souffle du vent accompagnent le voyageur dans une sorte de méditation mobile. Les paysages changent sans cesse : ici une forêt de mélèzes, là un alpage parsemé de fleurs sauvages, puis un col minéral, abrupt, brut, presque lunaire. Les cols de l’Izoard, de l’Iseran ou de la Colombière ne sont pas que des points sur une carte : ce sont des murs à gravir, des balcons sur le monde, des instants suspendus.

Les cyclistes en quête de performance y trouvent un terrain d’expression mythique. Chaque col est une conquête, chaque ascension un chapitre de leur propre aventure. Grâce à un système de contrôle et de tamponnage, ils peuvent obtenir un diplôme certifiant leur passage : la fameuse Borne d’Or. Un symbole, certes, mais aussi une reconnaissance de l’effort fourni.

Les motards, eux, parlent souvent de cette route comme d’un “graal mécanique”. Un mélange d’adrénaline et de contemplation, où chaque courbe se négocie avec style et précision. L’utilisation de l’application Coyote prend ici tout son sens : alerte virage, indication d’altitude, signalement de zones de danger ou de routes étroites… autant de fonctionnalités qui transforment la traversée en plaisir pur, maîtrisé et immersif.

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Carte coyote de la route Napoléon

Un itinéraire pittoresque

L’itinéraire suit principalement la RD 902, de Thonon-les-Bains jusqu’à Nice, mais il est loin d’être figé. Il traverse plus de 20 communes emblématiques et peut être adapté selon le profil du voyageur. On y découvre tour à tour les charmes des villages savoyards, les alpages du Beaufortain, les panoramas spectaculaires du col de la Madeleine, ou encore les paysages lunaires du Galibier.

Des étapes comme Morzine, La Clusaz, Val-d’Isère ou Barcelonnette permettent de faire halte dans des lieux riches en histoire, en gastronomie et en culture alpine. C’est un voyage où l’on prend le temps. Un road trip qui se savoure. Il faut compter environ 15 à 20 heures de conduite pour les motorisés, réparties sur 3 à 5 jours selon le rythme.

Pour les cyclistes, il s’agit d’un véritable périple de 10 à 15 jours. Dans les deux cas, la navigation intelligente via l’application Coyote permet de repérer à l’avance les points d’intérêt, les hébergements, les stations-service parfois rares en altitude, et même les tronçons exigeants. Grâce à l’assistant vocal, l’info est transmise sans quitter la route des yeux.

Une route pour les amateurs de défis

La route des Grandes Alpes, c’est une épopée. Un long ruban d’asphalte qui cumule 720 kilomètres, 18 000 mètres de dénivelé, et des centaines de virages. Mais ce n’est pas qu’un parcours physique : c’est aussi un défi mental. L’enchaînement des cols, les changements de météo imprévisibles, les variations de température – parfois brutales – entre deux versants… Tout pousse à l’adaptation, à la résilience.

C’est ce qui rend cette route si unique. Elle exige autant qu’elle émerveille. Elle impose sa cadence, ses règles, ses silences. À chaque col franchi, on repart un peu différent, avec le sentiment d’avoir vécu quelque chose de rare.

Et quand l’organisme fatigue ou que les conditions deviennent instables, l’application Coyote devient un véritable copilote. Alertes de dépassement de vitesse, surveillance des zones à risques, indication de la météo à venir ou du pourcentage de pente : autant de données qui permettent de se concentrer sur l’essentiel, dans les meilleures conditions de sécurité.

Coyote col alpes